Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Le charqueador et le bagnard.
6 décembre 2018

EDMUNDO BERCHON des ESSARTS

 

Edmundo Berchon des Essarts


Grand cousin.

DSCF2410.JPG

Membre de l'Academia Nacional de Médicinales de Rio de Janeiro.
de la Sociedade de Médicinales de Porto Alegre.
de l'Association française de chirurgie de Paris.
de l'Association italienne de chirurgie de Rome.
du Collège américain de chirurgiens.
de la Société d'orthopédie de Rome.
du Collège Brésilien de chirurgiens de Rio de Janeiro.

Il fut président de la bibliothèque publique de Pelotas.
Résident et fondateur de la Société agricole de Pelotas.
Fondateur de l'Asile de mendiants.
Président du Jockey-Club.
Socio Grand-Bienfaiteur de l'asile d'orphelins S. Bénédicto.
Fondateur (Sociologie Beneméritos) de la Société de Culture artistique de Pelotas.
Directeur de l'école d'agronomie Eliseu Maciel.
Professeur honoraire à la Faculté de Pharmacie et Odontologie de Pelotas.
Irmao Grande Enfeitor da Santa Casa de Misericordia.

Son père meurt assassiné en 1872 au Paraguay. 
Avec sa mère et toute sa famille il s'installe, en janvier 1874, à Pelotas.

 

DR. EDMUNDO BERCHON DES ESSARTS (Grand-cousin )est né le 1 mai 1864, à S.Gabriel, RGS, de EDMOND JOSEPH BERCHON Des ESSARTS  et de AMELIE JUSTINE BERCHON Des ESSARTS [ROUX] . 

MARIAGE DE SES PARENTS:

ETAT DES ACTES DE L'ETAT CIVIL
VICE-CONSULAT DE FRANCE AU RIO GRANDE DO SUL 

ANNÉE 1857 (16 ème feuillet) 

« Illustre et Révérend Vicaire de l'Eglise dit Edmond José BERCHON DES ESSARTS que dans l'intérêt de son droit et justice il a besoin par certificat l'extrait de son mariage avec Mme Amélie Justine ROUX qui fut célébré le 22 avril 1857 en cette ville de Pelotas à la résidence du père de la contractante, pour ce qu'il prie Mr. Le Vicaire qu'il lui délivre E.R.M. Signé Edmond José Berchon des Essarts. Je certifie que dans le troisième livre des registres des mariages des personnes libres de cette Paroisse et à la page quarante et une (41) il existe écrit ce que le suppléant demande dans sa requête qui est de la forme suivante. 

Le Vingt deux avril mil huit cent cinquante sept, en cette ville de Pelotas, à la résidence de Jean- Baptiste ROUX, en vertu de l'autorisation du Révérend Vicaire de la juridiction de ce district, et faites les diligences d'usage et en ma présence et des témoins, le Docteur Alphonse GASSIER et Auguste BAETHGEN, se reçurent en mariage par paroles des présents, au pied d'un autel portatif vers les huit heures et demi du soir Edmond José Berchon des Essarts, fils légitime des feus Jacques Louis Berchon des Essarts et de dame Marie Grangier Bois-de-Champs, les deux natifs de France, avec Mademoiselle Amélie Justine ROUX née et baptisée à la ville de Porto Alegre, fille légitime de Jean-Baptiste ROUX et de dame Léonor ROUX, les deux natifs de France et de suite reçurent la bénédiction nuptiale d'après le rit Romain. 

Et pour constater j'ai fait faire cet enregistrement extrait du dit livre et par moi signé : le vicaire Antonio da Costa Guimaraes. Rien de plus contenait le dit acte auquel je me rapporte que j'ai extrait copie du propre livre, verbum ad verbum, et m'ayant été demandé je l'ai passé en foi de vicaire. Paroisse de St François de Paul de la ville de Pelotas le 28 avril 1857. Le vicaire signé Antonio da Costa Guimaraes. Reconnais la signature ci-dessus à laquelle je donne foi. Pelotas les 28 avril 1857. En témoignage de la vérité signé Geremias Alberto Proes.
= Il y avait en langue française:
Vu pour la légalisation de la signature de Monsieur Geremias Alberto Proes, Notaire à la ville de Pelotas. Rio Grande do Sul, le 18 mai 1857=le Gérant du Vice-Consulat de France= signé P.P.LIROU
Pour traduction conforme à l'original par nous soussigné gérant du vice-consulat de France au Rio Grande du Sud, le 18 mai 1857. 

signé: P.P. Lirou 

 

Edmond José Berchon des Essarts est mort assassiné au Paraguay:

 

La France Républicaine du samedi 28 octobre 1872:

" Des correspondances de La Plata, des journaux français ont rendu compte, d'une manière inexacte , d'un assassinat commis au Paraguay, dont un certain nombre de nos nationaux auraient été victimes.
Un seul nom ayant été publié, cette lacune dans la narration de cet attentat devait jeter l'alarme parmi les familles françaises en relations avec ce pays.
Nos renseignements puisés aux meilleures sources nous permettent de faire cesser les incertitudes, de donner les détails positifs sur le crime, et de faire connaître les circonstances atroces qui l'ont accompagné .
Deux personnes seulement sont tombées sous le poignard des Paraguayens : M. Edmond Berchon des Essarts, notre compatriote et son secrétaire, M. Jouan Joseph Mengisco.
Dans la nuit du 25 au 26 juin dernier, des assassins introduits dans la maison pénètrent dans la chambre occupée par M. Mengisco ; le malheureux, surpris en plein sommeil, a été égorgé sans qu'il ait pu proférer un seul cri. Il n'en a pas été de même pour notre infortuné compatriote qui opposa aux assassins la plus énergique résistance ; son cadavre portait la trace de nombreuses blessures, ses mains étaient littéralement hachées.
Plusieurs coups de révolver tirés par lui dans sa défense désespérée et entendus du dehors, permirent à la police de cerner la maison et de capturer une partie des assassins.
Déjà M. Des Essarts et son secrétaire avaient été victimes d'une tentative d'empoisonnement ; leur mort était donc bien décidée .
Parmi les personnes arrêtées figure une Française qui avait accès dans la maison et qui a déclaré avoir assisté bâillonnée à cette horrible exécution. 
Cette femme, du nom de Félicie Espullier, a été bientôt amenée à faire à M. Le consul de France l'aveu qu'elle avait elle-même ouvert la porte aux assassins, au nombre desquels se trouve le nommé Saqui, appelé dans le pays "le roi du couteau".

 

      Son fils, Edmundo Berchon des Essartsest né le 1er mai 1864 à San Gabriel, le pays d'Assis Brasil, son ami. Il a été un remarquable chirurgien et un citoyen éminent. Il a innové des processus opérationnels, fait de nombreuses et admirables opérations,créé une école de chirurgiens notables. Après la mort de son père au Paraguay, il s'est installé avec sa mère et toute la famille à Pelotas en janvier 1874. Il y a fait ses études secondaires ; a eu pour professeurs au collège Carlos André Laquintinie, Charles Bachellery. En 1882, il s'est inscrit à l'Ecole de medecine de Rio de Janeiro. En cinquième année, à la suite d'un incident entre les étudiants et un professeur de pharmacie il quitte Rio pour Bahia où il obtient son doctorat, soutenant sa thèse sur le cancer. Ensuite il a traveillé à la polyclinique générale de Rio de Janeiro. En 1888, il part à Paris où il suit les cours de Lucas Championnère, Guyon, Terrier, Tarnier et d'autres. Il retourne s'installer à Pelotas en 1889, début d'une longue et distinguée carrière médicale.

      Le 31 mars 1890, il est nommé Médecin De l'Hôpital de la Santa Casa de Misericordia. Ilcrée un laboratoire pour la préparation de vaccins, premier service de cette nature dans le Rio Grande do Sul et le deuxième dans tout le pays. Grâce à cette initiative a été maîtrisée une grave épidémie de variole qui s'est manifestée à Pelotas et les municipalités voisines.. Plus tard il entreprendra plusieurs campagnes de santé contre la fièvre typhoïde, le cancer, le kyste hydatique, l'anthrax, la fièvre aphteuse et autres morbidités. Le 2 septembre il intègre la Santa Casa. Commence-là, dit le Dr Darcy Xavier le déclenchement d'une grande activité bienfaisante: équipement, chambres, services cliniques assistance caritative profitent de la munificence du Dr Berchon : tables chirurgicales, instrumentales, dons en argent ; en 1893, il commande à une maison française bien connue et de bonne réputation le premier auticlave (fabrication n°72). Le Dr Berchon a été le premier ou parmi les premiers à pratiquer les méthodes de Pasteur, une chirurgie moderne, progrès également liés aux Drs. José Adolfo Josetti et Carlos Wallau. Son dispositif "improvisé" de radiographie a été largement utilisé et a rendu des services importants aux cliniques de l'hôpital. Cela a été une grande réussite, realisée avec des moyens modestes et beaucoup d'efforts. Mais le grand chirurgien n'en est pas resté là. Il a importé de Paris et installé dans sa propre maison, avec beaucoup de difficultés, n'ayant pas le courant électrique de la ville, une installation radiologique complète, qu'il a mis gratuitement à la disposition de ses patients. Il en fit don plus tard à la Santa Casa. C'est lui qui eut l'idée, en 1899, de faire venir des Soeurs de la Charité à l'hôpital. En 1902, il crée un cours d'infirmières à la Santa Casa.

        Incontesteblement il a été le créateur de la gynécologie moderne au Brésil, grand adepte de Pozzi dans cette spécialité. Disciple de l'école française en tant qu'urologue, il choisit des maîtres remarquables : Albarran, Legueu, Heitz-Boyer, Papin, Marion et autres.

        Il s'est également intéressé à la chirurgie plastique et a consacré la plupart de son temps à la vie de l'hôpital. Après de délicates  interventions il continuait à suivre les malades, faisait les pansements, suivait de près l'évolution des lésions et tenait à prodiguer aux patients des soins personnels avec beaucoup d'attention.

Il est décédé le 1 mars 1942, âgé de 77 ans, à Pelotas, RGS.  Il était le conjoint de Antonia CASTRO BERCHON Des ESSARTS [CHAVES] ( et de IDALINA BERCHON Des ESSARTS [CALDAS]

 

 

               "Edmundo Berchon Des Essarts foi um cirurgião notável e um preclaro cidadão. Por grandeque tenha sido a face profissional da sua vida, maior, sem dúvida, foi o seu aspecto cívico. Há grandes médicos, que apenas são grandes médicos. Entendem com isso esgotada a sua tarefa. Em Edmundo Berchon, o médico, o cirurgião, não era o homem todo, mas, apenas, um dos modos de ser do cidadão. Como simples cirurgião, teria feito as numerosas e admiráveis operações que fez, teria inovado processos operatórios, teria deixado a sua escola de notáveis cirurgiões. Mas não teria posto os seus recursos materiais a serviço da educação e da assistência social, não teria fomentado à sua custa a economia do seu torrão, não se haveria dedicado desde a juventude à política, que é, para os espíritos da sua estirpe, a mais nobre e útil de todas as artes. Nasceu ele a 1o de maio de 1864, em São Gabriel, terra de Assis Brasil, seu grande amigo, de Fernando Abbott, outro médico notável. Falecido o pai no Paraguai, depois de terminada a guerra, mudou-se a mãe para Pelotas, com toda a família, em janeiro de 1874. Nesta cidade, fez os estudos secundários no colégio do acreditado professor Carlos André Laquintinie, a quem sucedeu o também reputado professor Charles Bachellery. Tirados os exames em Porto Alegre, seguiu para o Rio de Janeiro, em cuja Faculdade de Medicina se matriculou em 1882: cursava o quinto ano, quando, devido a um incidente entre os alunos e o professor da cadeira de Farmácia, se transferiu para a Faculdade da Bahia, onde se doutorou, mediante a apresentação de uma tese a respeito do Câncer. Depois de formado, perma neceu cinco meses na capital do País, onde trabalhou na Policlínica Geral. Partiu em 1888 para Paris e ali freqüentou os cursos de Lucas Championnère, Guyon, Terrier, Tarnier e outros. Regressando em 1889, instalou-se em Pelotas para iniciar a sua longa e notável carreira médica. 

Pouco depois, em 31 de março de 1890, é nomeado médico do hospital da Santa Casa de Misericórdia. Nesse mesmo ano, monta à sua custa um laboratório de pesquisas clínicas. Como fosse ineficiente, por velha, a vacina entre nós usada, pois as comunicações eram demoradas, e a linfa vinha freqüentemente do estrangeiro, deu Edmundo Berchon a primeira demonstração concreta do seu forte espírito público: instalou, numa dependência da Escola de Agronomia Eliseu Maciel, um laboratório para a preparar, tornando-se, o criador do primeiro serviço de tal natureza no Rio Grande e segundo no País. Graças a essa providência de um simples particular, foi rapidamente debelado um grave surto de varíola, que se manifestara em Pelotas e nos municípios vizinhos. Precedia o filantropo ao cirurgião, tanto era verdade ser este apenas um dos modos de ser daquele. Mais tarde, empreendeu Edmundo Berchon, sempre à sua custa, várias campanhas sanitárias contra a febre tífica, o câncer, o cisto hidático, o carbúnculo, a febre aftosa e outras entidades mórbidas. A 2 de setembro de 1893, tornou-se ele médico efetivo da Santa Casa e assumiu a direção de várias enfermarias: abriu- se-lhe então vasto campo para a sua atividade benfazeja. Começa aí - diz o Dr. Darcy Xavier, a cuja gentileza devemos a máxima parte dos dados deste bosquejo biográfico - começa aí, o surto do aparelhamento, cada vez maior, das salas, serviços e clínicas do hospital e começa também o rosário ininterrupto da munificência do Dr. Berchon para com essa casa de caridade e assistência. A primeira autoclave, por ele encomendada a conhecida e reputada casa francesa, tinha o número 72 de fabricação. Foi instalada naquele estabelecimento em 1893. Berchon contribui com mesas cirúrgicas, instrumental, utensílios, bem como com donativos em dinheiro. “O Dr. Berchon foi o primeiro ou um dos primeiros a praticar no Rio Grande do Sul os processos pastorianos e da moderna cirurgia, a cujo advento estão também ligados os Drs. José Adolfo Josetti e Carlos Wallau, que deixaram grande nome na cirurgia brasileira”. A sua contribuição neste memorável evento da cirurgia rio-grandense não foi apenas a do operador. Para poder realizar, em 1899, a primeira asséptica, na qual foi auxiliado pelos Drs. José Cipriano Nunes Vieira e José Brusque, concorreu largamente para as instalações e para a compra do instrumental. A ele se deve também a primeira aplicação do soro anti-diftérico entre nós, por volta de 1894. Adquirira dez tubos no próprio Instituto Pasteur de Paris. Segundo testemunha o prof. Nogueira Flores, da Faculdade de Porto Alegre, foi o Dr. Berchon quem montou o primeiro aparelho de Raios X em nosso País. Por volta de 1896 ou 1897, oferecera-lhe o Dr. Almeida Pires, do Rio Grande, um tubo de Callardau, que trouxera da Europa. De posse desta parte essencial, procurou ele o seu particular amigo Alexandre Gastaud, telegrafista e técnico de valor, que estava então reparando o Laboratório de Física da Escola de Agronomia Eliseu Maciel, desmantelado durante a Revolução de 1893. Graças à sua dedicação e a um trabalho insano, conseguiu o técnico reconstituir a enorme bobina de Ruhmkorff da Escola e com ela fazer funcionar a ampola. Obteve primeiro a radiografia da mão do próprio Dr. Berchon e, depois, outras, mais nítidas, foram conseguidas. O improvisado aparelho passou a ser usado largamente e prestou relevantes serviços às clínicas do hospital. E era certamente urna grande conquista, alcançada com modestos meios e muito esforço, mas incapaz de satisfazer a ânsia de aperfeiçoamento do grande cirurgião. Já que tão úteis haviam sido os resultados, o que se impunha era uma verdadeira e completa instalação radiológica. Importou-a ele de Paris, instalou-a em sua própria casa, com grandes dificuldades, por não ter ainda a cidade corrente elétrica, e a pôs gratuitamente à disposição dos pacientes. Mais tarde, doou-a à Santa Casa.

Ele foi quem sugeriu, em 1899, a vinda das Irmãs de Caridade para o Hospital, e teve neste sentido vários entendimentos com os representantes da respectiva ordem. Em 1902, criou na Santa Casa um curso de enfermeiros. Em 1964, aceitou, apesar de seus absorventes deveres profissionais, a provedoria daquela Instituição pia, que exerceu durante dois biênios consecutivos. A 2 de janeiro de 1915, passou a exercer o cargo de Chefe do Serviço Cirúrgico do referido hospital. Tantos e tantos valiosos serviços receberam, por várias vezes, da Santa Casa, a merecida consagração. Para comemorar o trigésimo aniversário da sua constante e modelar atividade profissional no hospital, a Mesa Administrativa e o Corpo Médico da Santa Casa realizaram uma sessão conjunta e fizeram colocar no átrio do estabelecimento uma placa dedicada ao “ilustre cirurgião brasileiro”. Mais tarde, foi-lhe erigido no jardim interno do edifício um busto de bronze com pedestal de granito. A 22 de outubro, data do seu jubileu profissional, ofereceu-lhe a Santa Casa um álbum de veludo, que tinha na capa um cartão de prata lavrada, cercado de grega de ouro, e continha o extrato das atas referentes ao ilustre Irmão Grande Benfeitor, bem como artigos assinados por todos os componentes da Mesa Administrativa, Conselho Deliberativo e Irmãos daquela instituição de caridade. Mais uma placa de bronze foi inaugurada em 31 de Março de 1940 para comemorar o jubileu da sua atividade cirúrgica no hospital. “O Dr. Berchon - diz o Dr. Darcy Xavier, seu dedicado discípulo - foi incontestavelmente um grande cirurgião. Possuía todas as faculdades indispensáveis para isso. Era inteligente, refletido, sereno, estudioso. Tinha faculdade inventiva e segura habilidade manual. Havia nele uma percepção especial e aquele raro requisito em clínica, que fazia o grande Assis Brasil chamarlhe “um poço de bom senso”. Costumava dizer aos novos que “não se aprendia medicina nos cafés”. “Fazendo seguidamente viagens à Europa, percorria com interesse os hospitais e as clínicas, alistando-se para a sua freqüência regular. Naqueles grandes centros era altamente considerado pelos maiorais da cirurgia, a quem, não raro, estava ligado por laços de amizade e simpatia. Tanto nas grandes cidades do nosso País, como nos cultos centros europeus, assistia a congressos médicos, freqüentava sessões de academias e era assíduo aos serviços particulares de cirurgia e às clínicas operatórias dos hospitais. “Foi incontestavelmente o criador da moderna ginecologia em nossa terra, continua o Dr. Darcy Xavier - sendo um grande seguidor de Pozzi nesta especialidade. “Como urologista, era discípulo da escola francesa, onde ele escolhia os notáveis mestres Albarran, Legueu, Heitz-Boyer, Papin, Marion e outros. “As operações para correção e as intervenções plásticas em partes diversas do organismo tiveram nele um interessado e habilíssimo cirurgião. “Consagrava a maior parte do seu tempo útil à vida do Hospital e aí, após as grandes e delicadas intervenções, fazia os curativos, acompanhava com interesse a marcha das lesões e dos processos todos, animando os doentes com o carinho pessoal e observando-os com a acuidade e segurança que lhe eram peculiare "

 

 

Academia Sul-Riograndense de Medicina 

Porto Alegre - RS 

 

 

 

 

 

Publicité
Publicité
Commentaires
Le charqueador et le bagnard.
  • Plus aucune trace de lui... Pas même une pierre tombale. Deux frères nommés Jean-Baptiste : l'un mon aïeul, vice-consul de France au Brésil ; l'autre, bagnard condamné, en 1829, aux travaux forcés à perpétuité, pour crime contre la religion de l'Etat.
  • Accueil du blog
  • Créer un blog avec CanalBlog
Publicité
Archives
Visiteurs
Depuis la création 78 349
Newsletter
Publicité