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Le charqueador et le bagnard.
1 mai 2015

ALFRED PEROT

 

 

 

 

                                                 Jean-Baptiste Gaspard ALFRED PEROT

                                                                             AR grand cousin au 5ème degré

 

 

                                                    Astronome

                                                    Professeur de physique à l'École polytechnique

                                                    Physicien à l'observatoire de Meudon

                                                    Officier de la Légion d'honneur

                                                    Lauréat de la Médaille Rumford de la Royal Society

 

 

        Né à Metz (57), le 3 novembre 1863

        Décédé à Paris 16ème, le 27 novembre 1925

 

       Scientifique français,  fils de GASPARD PEROT, polytechnicien, officier du génie, puis intendant général. Sa mère, Laure Christine DUFOUR, était la petite-fille du baron DUFOUR, ordonnateur en chef de la Garde impériale (Premier Empire), maire de Metz, pair de France (1769-1842).

  Après des études secondaires à Nancy, il entre, comme son père, à l'École Polytechnique en 1882, et en sort démissionnaire en 1884. Il retourne alors à Nancy pour réaliser des travaux de recherche sous la direction du professeur René Blondot.

  Sorti de l'École polytechnique en 1884, il revient à Nancy effectuer sa thèse dans le laboratoire de René Blondlot où il met déjà en oeuvre des méthodes ingénieuses et directes. En 1888, il soutient sa thèse de docteur ès sciences devant la Faculté des sciences de Paris avec ses travaux sur la détermination précise des constantes thermodynamiques pour le calcul de l’équivalent mécanique de la chaleur.

  En 1888, il reçoit le doctorat ès sciences devant la Faculté des sciences de Paris pour ses travaux sur la détermination précise des constantes thermodynamiques pour le calcul de l'équivalent mécanique de la chaleur. Il est alors nommé maître de conférences à la faculté des sciences de Marseille.

 

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  Jeune étudiant, Charles Fabry, "revoit encore Perot au début de sa carrière scientifique, avec son inlassable activité, son esprit ouvert, son exceptionnelle habileté de travailleur manuel, construisant de ses mains les appareils nécessaires à ses recherches, communiquant son feu sacré à ceux qui l'entouraient".
Ensemble ils inventent l'interféromètre à ondes multiples, à lames semi-argentées, dénommé interféromètre Perot-Fabry, plus fréquemment nommé aujourd'hui
interféromètre de Fabry-Perot . Fabry avait traité de manière académique le problème des franges d'interférence dans sa thèse, mais Perot imagina alors une expérience originale, un électromètre dont les deux bornes mobiles étaient les deux lames métalisées de l'interféromètre. L'invention de cet interféromètre va déclencher de nombreux travaux - mesure des petites épaisseurs, détermination des longueurs d'onde, spectroscopie, largeur des raies spectrales et théorie cinétique des gaz, , vérification expérimentale de l'effet Doppler- Fizeau et de l'effet Michelson. En découleront environ 250 publications dont 23 dans l'Astrophysical Journal et beaucoup d'honneurs et de prix, à l'étranger comme en France. . En 1894, il est nommé professeur d’électricité industrielle à la même faculté de Marseille.

  En 1902, il est nommé directeur du Laboratoire national d’essais (aujourd’hui Laboratoire national de métrologie et d’essais) du Conservatoire national des arts et métiers . C'est là que sera déterminée la valeur en longueur d'onde du mètre-étalon avec la raie rouge du Cadmium.


  En 1908,il est nommé physicien à l'observatoire d'astronomie physique de Meudon, responsable de la spectroscopie solaire et directeur d'études à l'Ecole pratique des hautes études. il succède à
Henri Becquerel à la Chaire de physique de l'École polytechnique.

 Pendant la guerre il assure l'intérim de Deslandres à la tête de cet observatoire et, sous les ordres du futur général Ferrié, il développe la lampe à trois électrodes, la téléphonie sans fil et les radiogoniomètres. Avec Bernard Lyot, l'un de ses élèves, Perot invente des dispositifs pour l'atterrissage automatique des avions et le pilotage à distance des bateaux en escadre.

  En 1918, il est, avec Charles Fabry, lauréat de la Médaille Rumford de la Royal Society pour ses travaux dans le domaine de l’optique.

  Après la guerre Alfred Perot reprend ses activités de spectroscopiste solaire et apporte la première preuve expérimentale du décalage spectral gravitationnel des raies solaires vers le rouge prévu par la théorie de la relativité générale d'Einstein.  Il détermina aussi l'équivalent mécanique de la chaleur, mesura les constantes diélectriques et s'intéressa aux problèmes touchant aux applications industrielles de l'électricité ; il présente ses résultats, lors des célèbres conférences d'Albert Einstein. L'expérimentation le passionne jusqu'à la fin de sa vie.

Il meurt en 1925 à son domicile parisien, 16 avenue Bugeaud (L'été il habitait sa propriété de La Houssaye-en-Brie).

   (Académie des sciences,

  1. JEAN BAPTISTE GASPARD GUSTAVE ALFRED PEROT (Arrière-grand-cousin au cinquième degré de DOMINIQUE) est né le 3 novembre 1863, à Metz, 57, de JEAN BAPTISTE GASPARD PEROT22211 et de LAURE CHRISTINE DUFOUR22210. JEAN était Astronome, Professeur de physique à l'Ecole polytechnique, physicien à l'Observatoire de Meudon, officier de la Légion d'honneur, lauréat de la Médaille RUMFORD de la Royal Society. Il est décédé le 27 novembre 1925, âgé de 62 ans, à Paris, 16ème.

    Notes :

• Jean Baptiste Gaspard Gustave Alfred PEROT est un scientifique français, né à Metz le 3 novembre 1863 et mort le 28 novembre 1925 à Paris. Il était le fils de Gaspard Perot, polytechnicien, officier du génie, puis intendant général. Sa mère était la petite-fille du baron Dufour, ordonnateur en chef de laGarde impériale (Premier Empire), maire de Metz, pair de France (1769-1842).Sorti de l'École polytechnique en 1884, il revient à Nancy effectuer sa thèse dans le laboratoire de René Blondlot où il met déjà en oeuvre des méthodes ingénieuses et directes. En 1888, il soutient sa thèse de docteur ès sciences devant la Faculté des sciences de Paris avec ses travaux sur la détermination précise des constantes thermodynamiques pour le calcul de l’équivalent mécanique de la chaleur.En 1888, Perot est nommé maître de conférences à la faculté des sciences de Marseille. Jeune étudiant, Charles Fabry, "revoit encore Perot au début de sa carrière scientifique, avec son inlassable activité, son esprit ouvert, son exceptionnelle habileté de travailleur manuel, construisant de ses mains les appareils nécessaires à ses recherches, communiquant son feu sacré à ceux qui l'entouraient".Ensemble ils inventent l'interféromètre à ondes multiples, à lames semi-argentées, dénommé interféromètre Perot-Fabry, plus fréquemment nommé aujourd'hui interféromètre de Fabry-Perot . Fabry avait traité de manière académique le problème des franges d'interférence dans sa thèse, mais Perot imagina alors une expérience originale, un électromètre dont les deux bornes mobiles étaient les deux lames métalisées de l'interféromètre. L'invention de cet interféromètre va déclencher de nombreux travaux - mesure des petites épaisseurs, détermination des longueurs d'onde, spectroscopie, largeur des raies spectrales et théorie cinétique des gaz, , vérification expérimentale de l'effet Doppler- Fizeau et de l'effet Michelson. En découleront environ 250 publications dont 23 dans l'Astrophysical Journal et beaucoup d'honneurs et de prix, à l'étranger comme en France. En 1918, il est, avec Charles Fabry, lauréat de la Médaille Rumford de la Royal Society pour ses travaux dans le domaine de l’optique. En 1894, il est nommé professeur d’électricité industrielle à la même faculté de Marseille.En 1902, il est nommé directeur du Laboratoire national d’essais (aujourd’hui Laboratoire national de métrologie et d’essais) du Conservatoire national des arts et métiers . C'est là que sera déterminée la valeur en longueur d'onde du mètre-étalon avec la raie rouge du Cadmium.En 1908, il succède à Henri Becquerel à la Chaire de physique de l'École polytechnique. La même année il est nommé responsable de la spectroscopie solaire à l'observatoire de Meudon. Pendant la guerre il assure l'intérim de Deslandres à la tête de cet observatoire et, sous les ordres du futur général Ferrié, il développe la lampe à trois électrodes, la téléphonie sans fil et les radiogoniomètres. Avec Bernard Lyot, l'un de ses élèves, Perot invente des dispositifs pour l'atterrissage automatique des avions et le pilotage à distance des bateaux en escadre.Après la guerre Alfred Perot reprend ses activités de spectroscopiste solaire et apporte la première preuve expérimentale du décalage spectral des raies solaires prévu par la théorie de la relativité générale ; il présente ses résultats, lors des célèbres conférences d'Albert Einstein. L'expérimentation le passionne jusqu'à la fin de sa vie. Il meurt en 1925 à son domicile parisien, 16 avenue Bugeaud (L'été il habitait sa propriété de La Houssaye-en-Brie). Avec C. Fabry, il mit au point un dispositif d'interférométrie optique (interféromètre de Fabry-Perot), à l'aide duquel ils déterminèrent la masse volumique de l'eau et, plus tard, les longueurs d'onde des raies d'absorption du spectre solaire. Ses travaux sur le spectre solaire l'amenèrent à tenter de vérifier le décalage gravitationnel vers le rouge des raies spectrales prévu par la théorie de la relativité générale d'Einstein. Il détermina aussi l'équivalent mécanique de la chaleur, mesura les constantes diélectriques et s'intéressa aux problèmes touchant aux applications industrielles de l'électricité. (Académie des sciences, 1927.) Après des études secondaires à Nancy, il entre, comme son père, à l'École Polytechnique en 1882, et en sort démissionnaire en 1884. Il retourne alors à Nancy pour réaliser des travaux de recherche sous la direction du professeur René Blondot.En 1888, il reçoit le doctorat ès sciences devant la Faculté des sciences de Paris pour ses travaux sur la détermination précise des constantes thermodynamiques pour le calcul de l'équivalent mécanique de la chaleur. Il est alors nommé maître de conférences à la faculté des sciences de Marseille.En 1894, il est nommé professeur d'électricité industrielle à la même faculté.En 1902, il est nommé directeur du Laboratoire national d'essais (aujourd'hui "Laboratoire national de métrologie et d'essais" du Conservatoire national des arts et métiers en remplacement de Masson.En 1908, il est nommé physicien à l'Observatoire d'astronomie physique de Meudon et directeur d'études à l'École pratique des hautes études.Il succède l'année suivante à Henri Becquerel à la chaire de physique de l'École Polytechnique.En 1918, il est lauréat de la Médaille Rumford pour ses travaux dans le domaine de l'optique.Il est surtout connu pour sa participation à l'invention de l'interféromètre à ondes multiples dit de Fabry-Perot.

• Nom du lien : Histoire du Laser, Lien URL: http://le-laser.e-monsite.com/pages/historia.html.

  1. ELISABETH JULIE MAGUIN (Femme de l'arrière-grand-cousin au cinquième degré de DOMINIQUE) est née le 23 septembre 1867, à Metz, 57. Elle est décédée le 5 mai 1928, âgée de 60 ans, à Le Chesnay, 78.

    JEAN BAPTISTE GASPARD GUSTAVE ALFRED PEROT17074, à environ 23 ans, a épousé ELISABETH JULIE MAGUIN, à environ 19 ans, en 1887 à Nancy, 54. Ils ont eu sept enfants :

    Suzanne Elisabeth Sophie PEROT12811 née en 1889 Marguerite, Elisabeth Perot12813 née en 1891
    Lise PEROT12814 née en 1891
    JEAN PEROT12815 né en 1895

    JEAN BAPTISTE PEROT12816 né en 1895
    RENÉ CHARLES JEAN BAPTISTE PEROT12818 né en 1902 JEAN BAPTISTE GILBERT PEROT12820 né en 1910

     

 

Liens familiaux:

Jean Bazin et Anne Toussaint, mes 7 fois grands parents, ont eu une fille: Catherine Bazin. Celle-ci a épousé Jacques Mougeot. Ils ont eu une fille: Marguerite Mougeot. Cette dernière a épousé Jean Febve, avec qui elle a eu Reine Fevez* qui a épousé Valentin Robert. Marie Catherine Reine Robert, leur fille, s'est mariée avec Gilbert Dufour. Leur fils, Gustave Valentin Dufour, a épousé Claude Françoise Christine Jacquinot. Enfin, Laure Christine Dufour, leur fille, a épousé Gaspard Perot, dont elle a eu pour fils...Alfred Perot, mon arrière gd cousin au 5ème degré. En effet, Marguerite Mougeot avait une soeur Catherine Mougeot qui a épousé Jean Tupin avec qui elle a eu Marie Catherine Tuppin qui a épousé Alexis Garnier. Leur fils Jean Alexis Garnier a épousé Marie Barbe Leliepvre. Leur fils Louis Alexis Garnier a épousé Frédérique Marie Michel. Mon grand-père maternel, leur fils Georges Eugène Ernest Garnier a épousé Auguste Alphonsine Marguerite Crosset  ma grand'mère maternelle.

 

                                                                                              °°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°

  Extrait du journal "LE GAULOIS" du Lundi 4 octobre 1920

 

                                                                                                PETIT CARNET

 

Mme Pierre de Malglaive, née de Bizemont, vient de donner le jour à une fille Alyette. 

 (note : Pierre de MALGLAIVE a épousé Antoinette de BIZEMONT, Arrière-petite-cousine au quatrième degré d'Alfred PEROT , ... et ma cousine au septième degré...Elle épousera Timothy Frank ENGLAND en mars 1945 à Kensington, London. Ils auront deux enfants : Antoinette Marie ENGLAND née en 1946 et Michael Frank ENGLAND, né en 1947)

 

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Commentaires
Le charqueador et le bagnard.
  • Plus aucune trace de lui... Pas même une pierre tombale. Deux frères nommés Jean-Baptiste : l'un mon aïeul, vice-consul de France au Brésil ; l'autre, bagnard condamné, en 1829, aux travaux forcés à perpétuité, pour crime contre la religion de l'Etat.
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